Votation sur l’accord UE : le peuple doit dire non !

L’accord avec l’UE menace notre démocratie et nos paysans. Le peuple suisse doit voter NON pour protéger notre liberté !

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Samuel Rothenbühler

5/7/20252 min read

L’accord avec l’UE menace notre démocratie et nos paysans. Le peuple suisse doit voter NON pour protéger notre liberté !

Prochainement, nous voterons sur l’accord avec l’Union européenne. Et moi, Samuel Rothenbühler, agriculteur de l’Emmental et militant UDC, je vous le dis : c’est NON ! Cet accord, c’est une porte ouverte pour Bruxelles. Ils veulent nous imposer leurs lois, leurs juges, leurs règles. Mais la Suisse n’est pas à vendre ! Nos ancêtres ont combattu pour notre liberté, pas pour qu’on la brade à des bureaucrates qui méprisent notre démocratie directe.

Un danger pour notre démocratie

Cet accord, c’est la fin de notre souveraineté. L’UE veut qu’on adopte automatiquement ses lois, sans que le peuple ait son mot à dire. Vous imaginez ? Nos votations, notre droit de décider, balayés d’un revers de main ! À Bruxelles, ils n’aiment pas qu’on dise non. Souvenez-vous de 2021 : on a rejeté l’accord-cadre, et ils reviennent à la charge. Ils ne respectent pas notre démocratie directe, la plus belle d’Europe. Si on cède, on deviendra un pion de l’UE, comme les autres.

Et qui décidera de nos lois ? Des juges européens, pas nos élus suisses. À Berne, certains politiciens – ceux qui ont oublié d’où ils viennent – veulent nous faire croire que c’est un « compromis ». Mais un compromis qui tue notre liberté, ce n’est pas un compromis, c’est une capitulation !

Nos paysans en première ligne

Nous, les agriculteurs, on va payer le prix fort. L’UE veut ouvrir nos marchés à leurs produits, souvent moins chers, mais bourrés de pesticides qu’on interdit ici. À Saxon, un ami paysan m’a dit : « Si cet accord passe, je ne pourrai plus vendre mes pommes. » Nos fermes familiales, celles qui font vivre nos campagnes, vont crever sous la concurrence déloyale. En 2024, selon l’Union suisse des paysans, 12 % des exploitations ont déjà fermé à cause des pressions économiques. On veut ajouter l’UE à nos problèmes ?

Et ne parlons pas des normes. Bruxelles imposera ses règles, même sur nos vaches et nos champs. On n’a pas besoin de bureaucrates pour nous dire comment cultiver nos terres ! On le fait depuis des siècles, et on le fait bien.

La Suisse n’a pas besoin de l’UE

L’UE nous fait croire qu’on a besoin d’eux. Mais c’est faux ! La Suisse est forte seule. On exporte nos montres, nos fromages, nos machines partout dans le monde, pas seulement en Europe. En 2023, 55 % de nos exportations allaient hors UE, selon l’Administration fédérale des douanes. On peut négocier nos propres accords, sans nous mettre à genoux devant Bruxelles. L’UDC l’a toujours dit : des relations bilatérales, oui, mais pas une soumission !

Et puis, regardez autour de nous. En Roumanie, Simion vient de gagner le premier tour avec un discours anti-UE. En Allemagne, l’AfD grimpe en critiquant Bruxelles. Partout, les peuples se réveillent. Nous, Suisses, on doit montrer l’exemple : on peut être libres et prospères sans l’UE.

Le peuple doit agir

C’est à nous de décider. Pas à Berne, pas à Bruxelles, mais à nous, le peuple suisse. L’UDC appelle à un NON clair et fort. On ne veut pas de leurs juges, de leurs lois, de leur concurrence qui tue nos paysans. On veut rester Suisses, libres, indépendants. Alors, sortez vos stylos, allez voter, et montrons-leur qu’on ne brade pas notre patrie ! La Suisse, c’est nous, et elle n’est pas à vendre !